Sauts, figures de step, roues avant, roues arrière, coupole et j'en passe. Voilà à quoi je m'adonnais une fois les cours terminés, j'aimais m'échapper sentir la danse en moi. Oui vous avez bien entendu... la danse... ou plus précisément le Breakdance ou l'art de danser une danse de la rue. La première semaine en arrivant à l'aéroport s'était la premier chose que je vis et cela m'avait fasciné. Ses acrobaties, ses figures, qui exprimaient ce quand s'entêter à cacher ou qui nous défoulait qu'on cela n'allait pas. J'avais observer la beauté de leurs gestes. Ses gens qui faisait vivre cette danse. Des gens pratiquement de mon âge, enfin de mon âge d'apparence. J'avais mémoriser à peu près tout leurs pas et je voyais bien qu'ils improvisaient à quelques moments, ce n'était pas des chorégraphie toutes faite. Ce qui me réconfortait n'y connaissant à l'Amérique du Nord et sa culture, mais pour la danse cela m'avait tout de suit attiré.
Je voulais essayer, savoir si le fait de pratiquer cette danse était aussi belle que de l'observer. Et je peux dire que cela ne m'a pas déçu alors là pas du tout, j'avais encore jamais ressentis se plaisir de s'exprimer autrement que par la paroles cette fois ci j'avais trouvé une façon de communiquer sans rien dire et cela me plaisait n'étant pas très bavarde à la base. Je repris mon souffle et regardais le plafonds du gymnase et les paniers de baskets avait été remonté. J'étais heureuse. Heureuse en ce samedi après-midi.
Mais sachant que je ferais un tours au gymnase pour m'entraîner au calme et hors de la vue des autres élèves. Je me remis à faire un de mes pas la tête en bas perchée sur mes deux mains mes jambes croisées déviant sur le côté tout cela en équilibre. J'essaye de me perfectionner de jours en jours, cela fait bientôt un ans... un ans que je suis ici... un an que je danse.
Toujours perchée sur mes mains je sentis un regard se posé sur moi. Je restais dans la même position, me tenant en équilibre mais cette fois ci sur ma tête les mains lâchés dans le vide, je ne pensais à rien d'autre pas même à la mystérieuse personne qui m'observait du haut des gradins.